Hansi Flick, l’entraîneur au regard de lynx qui voit la vie en vert (ou peut-être juste ses défenses en rouge), a félicité ses joueurs après le Clasico remporté 4-3 contre le Real Madrid.
Mais attention, pas de champagne trop vite ! Entre deux sourires, il a balancé un uppercut critique : il faut boucher les trous béants de cette défense, sinon adieu les rêves de gloire éternelle !
Avec un groupe barcelonais aussi talentueux qu’un feu d’artifice du 14 juillet, Flick sait que la clé, c’est de recruter – parce que visiblement, improviser avec les actuels, c’est comme jouer aux échecs avec un dé !
Un Stade en Transes, Une Défense en Peignoir
Dimanche, le stade olympique de Montjuïc a vibré comme jamais lors du Clasico (4-3, oups, on a corrigé ce 5-3 fantaisiste !). Les arabesques de Lamine Yamal, la domination dans l’entrejeu et un spectacle à couper le souffle ont fait chavirer les cœurs.
Mais pas celui de Flick ! L’Allemand, avec son air de professeur sévère, a pointé du doigt les failles qui ont permis aux Madrilènes de mener et de réduire l’écart. « Nous devons nous améliorer défensivement, être plus stables », a-t-il grogné en conférence de presse, ajoutant que le Real exploite les erreurs « immédiatement en transition ».
Merci, Hansi, pour cette leçon de base – on dirait un coach de foot de quartier face à une équipe de gamins !
Cette insouciance juvénile du Real Madrid, si charmante en attaque, devient une invitation à la fête pour les contre-attaquants adverses. Flick tempère aussi son enthousiasme : « Je ne me sens pas encore champion.
Dans le football, on ne sait jamais ! » Eh oui, avec trois points à glaner pour le titre, mieux vaut ne pas vendre la peau de l’ours… ou du Real !
Recrutement ou Miracle : Le Choix de Real Madrid
Sauf catastrophe digne d’un film de série B, le Barça file vers un 28e titre et un triplé national (Supercoupe et Coupe du Roi inclus). Mais attention, un calendrier infernal et une défense aussi étanche qu’une passoire ont failli tout gâcher contre l’Inter. Et qui est le grand coupable ?
Wojciech Szczesny, notre gardien star, qui n’a stoppé que deux tirs contre le Real et a laissé passer sept buts en demie de C1. Bravo, champion ! Ronald Araujo, avec ses interventions approximatives, risque de dire adieu à la Catalogne, tandis que Gérard Martin et Héctor Fort dans les couloirs ont montré des limites dignes d’un match de quartier.
Même le retour de Christensen et Koundé ne suffira pas – il faudra piocher dans le carnet d’adresses, si les finances du club ne ressemblent pas déjà à un compte en rouge !
Bref, pour briller dans le barcelone-real madrid de l’histoire, Flick devra jongler entre coaching et casting. Alors, à vos agendas, Blaugrana, la quête d’éternité passe par un mercato… ou un bon plombier pour réparer cette défense !
