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Oh, quelle surprise, une grève à la SNCF ! On pensait avoir survécu au chaos de mai, mais non, la CGT remet le couvert pour le 5 juin 2025, avec un enthousiasme qui frise l’acharnement.
Alors, amis voyageurs, rangez vos rêves de week-end tranquille et sortez vos chaussures de randonnée : la galère des transports est de retour, et elle s’annonce épique !
La CGT sort les griffes, la SNCF sort… les excuses
La CGT, toujours prête à jouer les héros de la lutte ouvrière, a décidé de frapper fort en appelant « tous les cheminots » à une grève massive le 5 juin. Pourquoi ?
Parce que les négociations du 27 mai avec la direction de SNCF Voyageurs ont, sans surprise, capoté. Les cheminots demandent une refonte des primes, de meilleures conditions de travail, une grille salariale unique, et – soyons fous – une augmentation des effectifs pour ne pas finir en burn-out avant l’été.
Mais la direction, fidèle à elle-même, a répondu par des promesses aussi vagues qu’un horoscope de magazine : « On va y réfléchir… peut-être à l’automne. » Bravo, ça donne envie de chanter La Marseillaise sur les rails !
La date du 5 juin n’est pas un hasard : la veille, le 4, la SNCF organise des « groupes de travail » pour discuter des revendications. La CGT, méfiante comme un chat devant une baignoire, exige des garanties avant de s’asseoir à la table.
Sinon, ils maintiennent la grève – et ils ont même déjà une autre date en poche, le 11 juin, histoire de bien vous pourrir le mois. On parie combien que les « avancées » promises par la direction seront aussi concrètes qu’un mirage dans le désert ?
Sud Rail et ASCT : Les rebelles de l’ombre
Si la CGT joue les gros bras, Sud Rail et le collectif ASCT préfèrent la jouer plus… sournois. Après l’échec de leur grève de mai – où la SNCF avait déployé des cadres volontaires (surnommés « mercenaires briseurs de grève » par Fabien Villedieu de Sud Rail) pour limiter la casse – ils ont décidé de changer de stratégie.
Fini les annonces bien en avance qui donnent le temps à la SNCF de s’organiser ! Désormais, ils préviendront « au dernier moment », juste 4 jours avant, histoire de semer la panique.
C’est légal, puisque les grévistes doivent se déclarer 48 heures à l’avance, mais avouons-le, c’est surtout diabolique. Bien joué, Sud Rail, on applaudit votre sens de la surprise !
Jean-Pierre Farandou, le PDG de la SNCF qui veut « Faire rouler les trains »… ou pas
Jean-Pierre Farandou, PDG de la SNCF, a pris son air le plus sérieux sur BFMTV le 22 mai pour annoncer qu’il allait « tout faire pour faire rouler les trains ». On y croit à fond, Jean-Pierre, surtout après ton aveu que cette grève est une « épée de Damoclès permanente sur la tête des Français ».
Il est « gêné », qu’il dit, parce que « les Français ont besoin de leur train pour partir en week-end ». On est d’accord, Jean-Pierre, mais entre tes « dialogues sociaux constructifs » et les grévistes qui veulent des salaires décents, on a l’impression que tu joues au pompier avec un seau percé. Alors, combien de voyages vont encore être annulés ? On prend les paris !
Ce que demandent les grévistes
Résumons les revendications : la CGT veut :
- une revalorisation immédiate des salaires,
- une refonte des primes,
- de meilleures conditions de travail,
- et – rêve ultime – plus de recrutements pour éviter que les cheminots ne passent leur vie à jongler entre trois postes.
Franchement, on les comprend : qui n’a pas envie de travailler dans des conditions dignes et de ne pas être payé avec des cacahuètes ?
Mais à voir la lenteur légendaire de la SNCF à bouger, on se demande si les cheminots ne devraient pas directement demander un téléporteur pour aller au boulot.
En Conclusion : Prenez un Vélo 🚴♂️, Ce Sera Plus Simple 😅🚂❌ !
