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Mardi, l’OL a été balancé en Ligue 2 par la DNCG avec une élégance de marteau-piqueur, et le club, piqué au vif, promet de faire appel. Mais franchement, avec un scénario aussi tordu, a-t-on vraiment des raisons d’espérer ?
Entre budgets flous et promesses en l’air, l’OL semble jouer à pile ou face avec son avenir, 37 ans après avoir gravi les marches de la Ligue 1. Allons décortiquer ce désastre avec un sourire narquois !
L’OL rétrogradé : un mystère plus épais qu’une brume lyonnaise !
Alors, pourquoi l’OL s’est-il pris ce camouflet ? Mystère et boule de gomme ! La DNCG a rejeté le budget prévisionnel du club sans daigner expliquer pourquoi – on aura les détails dans quelques jours, comme une lettre au Père Noël arrivée en retard.
L’OL aura sept jours pour faire appel une fois la notification reçue, et bien sûr, ils vont sauter sur l’occasion. Mais avec un tel flou artistique, on se demande si ce n’est pas une excuse pour gagner du temps pendant que les caisses continuent de ressembler à un gruyère !
Le club devra jongler avec les arguments de la DNCG pour se sortir de ce bourbier – un vrai numéro de cirque où le clown principal reste John Textor.
Crystal Palace, Mercato et promesses en bulles de savon : Les recettes miracles de l’OL ?
Mais quels sont les superpouvoirs financiers que l’OL va sortir de son chapeau pour éviter la chute ? John Textor, l’homme d’affaires yankee au sourire confiant, pensait avoir tout prévu avant son audition.
Il a brandi des chiffres comme un magicien ses cartes : 83 millions d’euros d’apports des actionnaires, la vente de Crystal Palace (200 millions, si la Premier League daigne valider), et une baisse de la masse salariale.
Au total, un joli paquet de 200 millions, qu’il agitait fièrement sous le nez de la DNCG. Sauf que… ça n’a pas marché ! Les 40 millions promis sur Crystal Palace auraient été jugés trop maigres, et la validation par la Premier League risque de traîner plus longtemps que la date butoir de l’appel.
Résultat ? La DNCG veut du concret, pas des chèques en bois ! Le mercato pourrait sauver la mise avec des ventes de joueurs, mais avec des délais aussi serrés, c’est un peu comme demander à Usain Bolt de courir un marathon en tongs !
La multipropriété sous les projecteurs : un flou qui fait grincher la DNCG !
Et là, le pompon ! La DNCG semble avoir eu un haut-le-cœur face à la tambouille de la multipropriété orchestrée par Textor.
Imaginez : les droits de mutation du transfert de Luiz Henrique de Botafogo (un autre de ses clubs) vers Saint-Pétersbourg atterrissent dans les comptes de l’OL… où il n’a jamais mis les pieds !
Ajoutez à ça des magouilles avec Nottingham Forest, des retombées floues de Botafogo à la Coupe du Monde des clubs, et une valorisation du club qui repose sur du vent (Arena, OL Reign, vraiment ?).
Kevin Diaz, consultant chez RMC Sport, résume : « Ce sont des constructions très alambiquées ! » La DNCG, pas dupe, veut des preuves solides, pas des tours de passe-passe dignes d’un illusionniste fauché.
Textor devra sortir l’artillerie lourde pour convaincre – ou au moins faire rire la commission assez fort pour qu’ils oublient les chiffres !