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Matthias Quiviger, alias Ragnar le Breton, l’humoriste des réseaux sociaux qui a fait des « baffes pour rire » sa marque de fabrique, s’est pris une claque judiciaire bien méritée. Condamné à un an de prison ferme par le tribunal d’Évreux (Eure), ce roi du chaos n’était même pas là pour encaisser le verdict – pas d’avocat, pas de présence, juste une absence aussi élégante qu’une chute de vélo !
Et comme tout bon showman, il annonce faire appel, parce que visiblement, un an derrière les barreaux, c’est trop long pour un gars qui préfère danser sur les nerfs des autres.
La sieste qui tourne au KO : Le père de famille n’a pas signé pour un combat !
Tout commence le 27 mars dernier au stade de Ménilles-Pacy, où un père de famille tentait de piquer un somme dans sa voiture pendant l’entraînement de ses enfants.
Imaginez la scène : un petit dodo tranquille, bercé par le chant des oiseaux, quand soudain… boum boum boum ! Sa voiture se transforme en shaker à cocktails ! Pensant à une blague de son fiston, il ouvre la fenêtre pour dire gentiment « stop, je dors là ! ».
Mais non, c’était Ragnar, prêt à monter sur le ring ! D’après la victime, l’humoriste s’est mis à l’insulter, a fait le tour de la bagnole, a arraché la portière et l’a soulevé pour lui coller une droite mémorable – devant son fils de 12 ans, qui a dû se demander s’il regardait un sketch ou un cauchemar !
« J’essaie de klaxonner, de crier, mais il m’a transformé en punching-ball ! » raconte le papa, encore sous le choc.
Une « ultra-violence » qui fait jaser : La procureure et le tribunal en mode sévérité max sur Ragnar le Breton
La procureure, pas du genre à rigoler, a qualifié ça d’ »ultra-violence » et de’ »vrai passage à tabac », réclamant cinq mois de prison ferme. Mais le tribunal, visiblement lassé des facéties de Ragnar, a doublé la mise avec un an de prison ferme – sans aménagements, histoire de lui apprendre à rester sage !
En bonus, il écope d’une interdiction de voter pendant cinq ans, d’acheter des armes pendant trois ans, et d’approcher la victime ou son domicile pendant la même durée.
Cerise sur le gâteau : 2 000 euros pour le gamin traumatisé et 5 000 euros pour le père, qui cumule 40 jours d’arrêt de travail et un certificat médical listant 19 blessures – de l’ecchymose à l’entorse, un vrai catalogue de la castagne !
Ragnar le Breton contre-attaque : « Légitime défense » et excuses bancales
Dans une vidéo digne d’un one-man-show raté, Ragnar le Breton contre-attaque avec sa version des faits : « J’étais en légitime défense, faut que tout le monde assume ! » Il s’excuse platement de ne pas être venu au tribunal – « j’ai confondu lundi et mercredi, oups, j’étais juste distrait, pas en cavale ! » – et jure qu’il était à Évreux, probablement en train de préparer son prochain sketch.
Faire appel ? Évidemment, parce que pour cet humoriste, la justice, c’est juste une autre scène à conquérir. Espérons que ses blagues tiennent mieux la route que ses excuses !
En résumé…
Ragnar le Breton transforme un stade en arène et un sieste en drame – mais avec son appel, le public risque d’avoir droit à un nouvel acte de ce cirque judiciaire. Restez assis, le spectacle continue !