Métiers menacés par l’IA : Microsoft prédit un chaos bureautique

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Métiers menacés par l’IA
Métiers menacés par l’IA

Une étude de Microsoft, dévoilée le 10 juillet dernier, jette un pavé dans la mare du monde du travail, prédisant que les métiers menacés par l’IA vont bientôt danser la gigue de l’obsolescence – et pas n’importe lesquels !

L’intelligence artificielle, portée par la baguette magique de Microsoft, vise surtout les cols blancs, laissant les manuels tranquilles.

Mais attention, cette analyse, teintée d’intérêts économiques évidents, ressemble plus à une pub déguisée qu’à une prophétie fiable – on dirait presque que Microsoft vend son Bing Copilot comme le sauveur de l’humanité !

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Métiers menacés par l’IA : Traducteurs et écrivains en danger

D’après cette étude, basée sur 200 000 conversations anonymisées avec Bing Copilot, certains métiers menacés par l’IA tremblent déjà :

  • traducteurs,
  • historiens,
  • commerciaux,
  • écrivains,
  • auteurs, et chargés de clientèle sont dans le viseur, tout comme les enseignants, conseillers, et rédacteurs.

L’IA, avec son score d’applicabilité, semble prête à remplacer les stylos par des algorithmes – adieu les romans à l’ancienne, bonjour les textes générés en 0,2 seconde !

En revanche, bonne nouvelle pour les manuels : opérateurs de machines lourdes, opérateurs de bateaux à moteur, aides-ménagères, couvreurs, massothérapeutes, et plongeurs sont épargnés, grâce à leur intuition et leur gestion des imprévus.

Franchement, tandis que les écrivains pleurent sur leurs manuscrits, les couvreurs rient en ajustant leurs tuiles – l’IA n’a qu’à bien se tenir !

Métiers menacés par l’IA : Une étude à prendre avec des pincettes et un grain d’humour !

Mais soyons sérieux deux secondes : cette étude sur les métiers menacés par l’IA est à manipuler comme un vieux gruyère – plein de trous !

Les chercheurs de Microsoft avouent eux-mêmes que l’IA ne prend pas en charge « toutes les tâches » des jobs ciblés, et préfèrent parler de « changements dans la façon de travailler » plutôt que de licenciements massifs.

Création de nouveaux emplois pour superviser les machines ? Peut-être, mais avec quel salaire ? Pire, l’analyse se limite à Bing Copilot, ignorant les autres outils IA, et omet des métiers entiers – les boulangers ou les plombiers doivent souffler de soulagement !

Sans évaluer la qualité du travail automatisé, cette étude ressemble à une blague mal calibrée. Alors, avant de paniquer, rions un peu : l’IA peut écrire un roman, mais saura-t-elle réparer une fuite ou masser un dos noué ? Pas si sûr !