Les îles Marquises, perle de la Polynésie française – et donc un bout de la France, soyons précis – sont sous alerte tsunami en France depuis ce mardi 29 juillet 2025, avec des vagues potentiellement hautes de 2,2 mètres prêtes à débarquer sur Ua Huka, Nuku Hiva et Hiva Oa dans la nuit de mardi à mercredi.
Les autorités, avec leur flair habituel, ont dégainé cette alerte comme un super-héros en retard, prévoyant l’arrivée de ces monstres aquatiques entre 00h57 et 1h08 (heure locale).
Pendant ce temps, les autres archipels polynésiens risquent des vaguelettes timides de moins de 30 cm – pas de quoi évacuer, juste de quoi tremper les orteils, dixit les experts !
Franchement, avec une précision aussi floue, on se demande si leurs calculs ne viennent pas d’une boule de cristal usagée.
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Pas de panique, mais un peu quand même : les habitants des Marquises, éparpillés sur ces 118 îles qui s’étendent sur 5,3 millions de kilomètres carrés – soit la taille d’une Europe un peu étirée –, doivent grimper aux hauteurs avant minuit, histoire d’éviter de nager avec les poissons.
La Polynésie française, ce territoire semi-autonome qui fait bizarrement partie de la France, voit ses vallées côtières se vider tandis que les internats perchés jouent les refuges de luxe.
Et qui arrive en renfort ? Les forces armées françaises, mises « en état d’alerte par mesure de précaution » par Sébastien Lecornu, le chef des armées, via un tweet héroïque.
Prêts pour des opérations de recherche, sauvetage ou évacuation médicale, ils débarquent comme dans un film d’action – sauf que, pour l’instant, personne ne sait si c’est un tournage ou une vraie crise. On parie sur un café offert aux soldats pour les remercier de leur vigilance !
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Avec ses 256 000 habitants disséminés sur cet archipel démesuré, la Polynésie française devient la vedette involontaire de ce tsunami en France.
Les Marquises, avec leurs paysages volcaniques et leurs trois îles sous haute tension, attirent tous les regards, tandis que les autres îles haussent les épaules face à des vaguelettes de 30 cm – « pas de quoi fouetter un crabe », comme diraient les locaux.
Les autorités activent leurs sirènes et le système FR-Alert, mais avec un séisme de magnitude 8,7 au large du Kamtchatka comme déclencheur, on se demande si leur plan anti-tsunami n’a pas été écrit sur une serviette de plage.
Entre préparation et improvisation, les habitants espèrent juste que cette alerte ne soit qu’un mauvais scénario d’été – sinon, adieu les cocotiers et bonjour les radeaux de fortune !